sábado, 17 de noviembre de 2018

Michel Fourniret condenado a cadena perpetua por el asesinato de Farida Hammiche en 1988

Es una nota que no refiere estructura del proceso delictivo, Proceso proceso de encausamiento, acusatorio, policial y fiscal, proceso condenatorio, o penal judicial, proceso de ejecución, proceso reinsertorio, proceso de liberatorio, proceso de luto, proceso cultural del delito. Todos ellos en otrora episodios del purgatorio del delito.

Nota.- En el siglo XVII, esta proceso, en la Medicina de Europa, así era contemplada la historia morbosa del enfermo, no de la enfermedad, que concluiría con el estudio que los ecónomos militares de Napoleón hacían de lo estadillos  de cada regimiento, régimen, dieta, o unidad operativa militar.

En aquel tiempo, régimen, o cumplimiento de la condena era con una dieta que siempre conllevaba la ejecución de la vida o la dieta de pérdida de libertad de la vida, o recuperar la dieta como ciudadano.

La restricción de la dieta del miliar a los alimentos, comienza con Napoleón.
El fin de la condena era la redención del pecado, o delito. 
El origen causal de la enfermedad era el pecado, o desobediencia  de la Ley de Dios. El fin de la condena era recibir el trato de la redención, origen del tratamiento por el cura-ndero. Origen de la monja en los centros de asilo y de hos-pedaje, u hos-pital.

Los hospitales de los poseídos, convulsivos, maniacos y demoniacos de Valencia.






Michel Fourniret condenado a cadena perpetua por el asesinato de Farida Hammiche en 1988

La ex esposa del asesino, Monique Olivier, fue condenada a veinte años de prisión por complicidad. Ambos ya habían sido condenados a cadena perpetua en 2008 por siete asesinatos.
Por Henri Seckel  Publicado hoy a las 13h53, actualizado a las 21h20
Tiempode reproducción 5 min.
Michel Fourniret y su ex esposa, Monique Olivier, el 13 de noviembre, en el Tribunal de Justicia de Yvelines.
Michel Fourniret y su ex esposa, Monique Olivier, el 13 de noviembre, en el Tribunal de Justicia de Yvelines. BENOIT PEYRUCQ / AFP
Après quatre jours de procès, et quatre heures et quarante-cinq minutes de délibéré, la cour d’assises des Yvelines, à Versailles, a rendu son verdict, vendredi 16 novembre : elle a condamné Michel Fourniret à la perpétuité pour l’assassinat de Farida Hammiche en 1988, et son ex-épouse Monique Olivier à vingt ans de prison pour complicité d’assassinat. Tous deux ont également été reconnus coupables du délit de recel de vol, en l’occurrence celui d’une partie du trésor du « gang des postiches », qui avait écumé les banques parisiennes de 1981 à 1986 et amassé un butin faramineux.
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L’avocat général Benoît Meslin avait requis plus tôt dans la journée la réclusion criminelle à perpétuité contre les deux accusés, âgés respectivement de 76 ans et 70 ans, et déjà condamnés à la prison à perpétuité en 2008 à Charleville-Mézières (Ardennes), pour les meurtres et les assassinats de sept adolescentes et jeunes femmes entre 1987 et 2001. Perpétuité incompressible pour Michel Fourniret ; assortie d’une peine de sûreté de vingt-huit ans pour Monique Olivier. Les peines prononcées vendredi sont absorbées par les précédentes. Monique Olivier pourra déposer une demande d’aménagement ou de libération conditionnelle en 2032. Elle aura 84 ans.
Dans son réquisitoire, Benoît Meslin avait appelé le jury à « ne pas faire de différence entre les deux accusés, tous les deux également coupables » « Michel Fourniret a reconnu que c’est lui qui avait tué Farida Hammiche. Monique Olivier voudra vous convaincre qu’elle a eu un rôle moins important, et qu’elle doit être punie moins sévèrement. Ce n’est pas mon avis. »
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« Monique Olivier est manipulée par Michel Fourniret »

« Elle savait de quoi Fourniret était capable, a-t-il poursuivi. Elle était évidemment au courant du projet de suppression de Farida Hammiche. Elle a contribué, peut-être encore plus que Michel Fourniret, à l’entraîner à Clairefontaine », là où la jeune femme de 30 ans a été tuée. « On se méfie moins d’une femme. On se méfie encore moins d’une femme enceinte. » Selim Fourniret, le fils du couple, est né six mois après l’assassinat de Farida Hammiche.
Plus tôt dans la matinée, les avocats des parties civiles avaient eux aussi insisté sur le rôle de Monique Olivier. « C’est un couple, un aigle à deux têtes, ne les dissociez pas, a insisté Me Yolaine Bancarel, avocate de la famille Hammiche. Sans elle, il n’est rien. » Pour Me Corinne Herrmann, avocate de Jean-Pierre Hellegouarch, l’ancien mari de Farida Hammiche« elle est sa muse, c’est elle qui a armé le bras » de Michel Fourniret, « petit artisan du crime ».
Le jury lui a finalement infligé une peine inférieure parce que, selon le président de la cour, Didier Safar, « Monique Olivier est une femme dominée et manipulée par Michel Fourniret, qu’elle a fini par dénoncer », en 2004. Pour ce dernier, a estimé M. Safar, « la peine est juste, adéquate, et porportionnelle à la gravité des faits, elle prend en considération la personnalité de l’accusé », un « prédateur sadique, sans empathie pour la victime », d’un « dangerosité criminologique extrême », selon un expert psychiatrique venu témoigner jeudi.
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Pas d’appel, mais pas le dernier procès

« Il n’y a que leur volonté complètement “égocentrée” de tuer pour le plaisir, pour prouver qu’ils sont quelqu’un, se mettre en valeur à leurs propres yeux », avait asséné dans la matinée Benoît Meslin, qui a surpris par son apathie, et dont la mollesse du réquisitoire traduit le caractère presque anecdotique – hormis pour les proches de la victime, évidemment – de cet « autre procès Fourniret », dix ans après les neuf semaines d’audience retentissantes de Charleville-Mézières.
Michel Fourniret ne fera pas appel, selon son avocat Me Grégory Vavasseur : « C’est un verdict qui ne sera pas contesté par la défense. Il n’y avait pas beaucoup d’intérêt pour M. Fourniret. Il n’y a pas à contester cette décision. » Les membres de la famille Hammiche présents à l’audience en repartent « soulagés, mais un peu déçus, car ils considèrent que Monique Olivier et Michel Fourniret ne font qu’un », note Me Bancarel, dont les clients gardent « l’espoir qu’un jour on retrouve le corps de Farida »« La brèche ouverte par Monique Olivier doit être travaillée », estime par ailleurs Me Didier Seban, avocat de Jean-Pierre Hellegouarch. L’ex-épouse de Michel Fourniret a parfois semblé à deux doigts de vaciller et de sortir de son silence au cours de l’audience.
Le duo n’en a pas terminé avec la justice, et un nouveau procès aux assises pourrait se tenir en 2020 au sujet de deux autres meurtres qui sont actuellement à l’instruction : ceux de Joanna Parrish et Marie-Angèle Domèce, deux jeunes femmes de 20 et 19 ans que Michel Fourniret a récemment avoué avoir tué au début des anénes 1990 dans l’Yonne.

Michel Fourniret et le « gang des postiches »

L’affaire qui était jugée depuis mardi se noue en 1984 à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, au sud de Paris. Incarcéré pour une série d’agressions sexuelles, Michel Fourniret partage alors sa cellule avec Jean-Pierre Hellegouarch, braqueur proche de l’organisation Action directe. Les deux hommes se lient d’amitié.
Libéré en 1987, Fourniret s’installe avec Monique Olivier. Le couple rencontre Farida Hammiche, la femme de Jean-Pierre Hellegouarch, lequel a hérité d’un nouveau codétenu, Gian Luigi Esposito, un Italien qui se présente comme un activiste d’extrême droite.
Un año antes, Esposito escapó de la prisión de Rebibbia en Roma con André Bellaïche, un miembro de la "pandilla de postizos", que atesoró un tesoro de guerra robando bancos. Permaneciendo junto a Bellaïche en la carrera, Esposito fue testigo del entierro de parte del botín en un cementerio en Val-d'Oise. A punto de ser extraditado a Italia, le pide a Hellegouarch que encuentre a alguien para desenterrar el tesoro y esconderlo en otro lugar.

El cuerpo nunca ha sido encontrado.

Hellegouarch utiliza Fourniret. Una noche de marzo de 1988, Farida Hammiche, Michel Fourniret y Monique Olivier fueron al cementerio de Fontenay-en-Parisis, cavando detrás de la tumba indicada por Esposito, y desenterraron una caja de herramientas llena de monedas y lingotes de oro.
El equipo vuelve a esconder el dinero en Vitry-sur-Seine, en Farida Hammiche, y la pareja Fourniret-Olivier gana su comisión, equivalente a 500 000 francos, según lo acordado. Unos días más tarde, Michel Fourniret ve más grande y decide hacerse con todo el tesoro, traicionando a su vez a Jean-Pierre Hellegouarch, y luego sigue detenido.
Aproximadamente un mes después de la exhumación del tesoro, el dúo Fourniret-Olivier fue a Farida Hammiche y, bajo un falso pretexto, lo llevó a los Yvelines, a Clairefontaine. Michel Fourniret la apuñala, la estrangula con las manos y luego lo entierra. La pareja regresa a Vitry, roba el oro del difunto y regresa a Yonne, después de dejar el automóvil de Farida Hammiche en el estacionamiento del aeropuerto de Orly para hacer creer una partida precipitada.
El cuerpo de Farida Hammiche nunca ha sido encontrado.
Henri Seckel
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